
Salut Marc-André et merci du point soulevé.
Afin de clarifier s’il y a doute ou difficulté sur ce point, je confirme que toutes les démarches auprès de toutes les entités gouvernementales ont été faites, et les permissions obtenues. Nous avons communiqué avec la ville afin de s’assurer que nous étions conforme à la règlementation municipale, garder la communication avec la ville ouverte et transparente. Nous avons l’appui de la municipalité. Encore une fois, les améliorations minimes apportées ne changent aucunement l’utilisation actuelle de l’aire d’atterrissage, ni des autres lopins sur le terrain. La CPTAQ permet de rajouter de la terre arable sans aucune permission requise. Et c’est exactement ce que nous faisons. Toutes les décisions rendues par la CPTAQ dans le passé ont étés étudiées et vérifiées par nous et la ville. Dans ce cas ci, le cap rocheux gagnerait en utilité à toutes fins pratiques, agricoles ou non. Le cap rocheux exposé en plein milieu d’un terrain d’atterrissage est aussi dangereux dans le cas d’un écrasement éventuel (collision aérienne en approche terminant sous le secours par ex.).
Avons-nous besoin de soulever les activités commerciales? En quoi l’ajout de terre sur le cap rocheux change quoi que ce soit pour ce qui est des activités présentes sur le terrain d’atterrissage actuellement? Le vol libre commence avec la formation, et une fois les bases acquises, la pratique doit continuer afin de rester à jour, sécuritaire pour soi-même et les autres aux décollages.
De plus, il est à noter que la ville a reçu l’appel d’un de nos membres cherchant à saboter le projet, avec justement ce point, réclamant que l’ajout de terre sur le cap rocheux serait à but commercial. En réponse à ceci, j’invite cette personne à bien lire le projet proposé. Tous les membres, nouveaux et pilotes d’expérience qui désirent pratiquer au sol en bénéficieront.
Votons en grand nombre pour ce projet qui est à faible cout, des plus réalisables, et avec des retombées immédiates pour la communauté. Et surtout, n’oublions pas que pour accéder au ciel, nous avons tous commencé en quelque-part. Faisons ce qu’il faut pour prendre soins des nôtres et mettre à la disposition des membres un outil indispensable pour la bonne pratique du sport.