Répondre à : Obtention des autorisations

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Patrice Jackson

    J’ai gardé cette philosophie en tête au long du processus. No boat is to be rocked here. Je crois aussi que le club est en règle en fonctionne dans “l’espace” qui lui est alloué, et que nous n’avons rien à se reprocher, dans l’éventualité d’une inspection. Rappelons-nous que le projet consiste à ajouter un peu de terre sur un cap de roche exposé, simplement. La proposition en soi est très en ligne avec cette philosophie de ne pas faire de vagues. Nous sommes un club de vol libre, assurant le bon fonctionnement et les meilleurs outils possibles pour une pratique sécuritaire de notre sport.

    Je ne crois pas qu’il est sain de parler d’activité “commerciale” dont nous bénéficions tous aujourd’hui, ou en avons tiré avantage à une certaine époque. N’oublions pas que l’ensemble du vol libre sur l’échelle mondiale fonctionne sur le principe que l’apprentissage et les vols tandems font un. C’est la base de notre existence. Le seul endroit qui reconnait le vol d’aile libre comme activité commerciale est en NZ, et les normes suivent derrière, sans aucune différence dans les compétences physiques et les connaissances requises entre un pilote de ligne commercial ou le parapentiste/deltiste/pilote de ballon commercial. J’en connais une chose ou deux, détenant ma license de pilote commerciale NZHPA, et ayant participé aux AGA pendant que j’y étais par curiosité de comment les gens s’organisent dans ce coin du monde.

    *Je comprends que ta réponse ne m’était pas dédiée 😉 , mais mon 5 cents!